Wedding party / Garden Party / Love Party
Il y a des jours qu’on attend comme un lever de soleil après une longue nuit. Le mariage de Julie et Sébastien, c’était ça. Un jour suspendu dans le temps, chargé de promesses et d’émotions, qui a mis trois longues années à se poser là, comme une évidence, dans le jardin familial de Sébastien.
Julie et Sébastien vivent en Chine. Leur vie, leur quotidien, leur histoire d’amour s’écrivent à des milliers de kilomètres d’ici. Et pourtant, c’est ici qu’ils ont choisi de dire oui. Ici, en France, là où tout a commencé, là où les racines sont encore profondes. Il a fallu patienter pour partager cette folie douce. Trois reports. Trois fois remettre leurs rêves entre parenthèses à cause du covid. Mais ils n’ont jamais renoncé (nous non plus). Et ça, déjà, c’est beau. Beau. Beau.
Le Jour-J a fini par arriver, enfin. Et quelle journée… Dès les premiers instants, tout sonnait juste. Le lieu, le rythme, les gens. Ce genre de mariage où tout le monde est à sa place, où les rires fusent sans qu’on ait besoin de les provoquer, où l’élégance se mêle à la simplicité, avec cette touche de chic naturel qu’on ne peut pas tricher.
Le reportage, je l’ai vécu plus qu’immortalisé. J’étais là, témoin discrète, cachée derrière mon objectif mais pleinement dans l’instant. Il y avait cette lumière d’été si douce, ces regards qui en disent long, ces mains qui se cherchent et se trouvent. Le tout orchestré par une équipe de prestataires en or. Des pros passionnés, humains, investis. On a travaillé comme un seul cœur pour façonner une journée qui leur ressemble : sincère, lumineuse, joyeuse.
La nuit est tombée doucement, enveloppant le jardin d’un voile de douceur. Le dîner s’est tenu à la belle étoile et c’était si beau. Rires, discours, danses et silences émus : tout était là. Tout et j’ai tout pris. À mes côtés, il y avait Clément aka Les Vidéos de Monsieur F, dont l’œil complice et sensible complète le mien avec poésie. Travailler ensemble sur ce mariage, c’était comme tisser une double narration, en images et en émotions. C’était tout ça et ça valait au moins deux regards sur leur histoire*

















































































